photo teNir | Festival Ribambelle 2025

teNir | Festival Ribambelle 2025

Festival généraliste, Spectacle, Manifestation culturelle, Manifestation culturelle, Pour enfants, Théâtre

CAEN 14000

Le 16/03/2025

Tenir le fil, tenir un fil, tenir debout, tenir entre, tenir au milieu, tenir quoiqu’il advienne, mais tenir… teNir est un dialogue entre un cube évidé, une danseuse et des fils. Le fil va d’un point à un autre, forme un nœud, un angle, en rejoint un autre puis un autre et une toile se dessine, prend forme à l’intérieur du cube. La toile occupe le cube, le remplit, l’encombre pour révéler à l’intérieur un espace libre. Le corps va trouver place et se lover, une empreinte de lui-même, une place pour teNir, s’y teNir, un cocon à habiter, une place à soi, pour habiter le monde. teNir est un geste artistique, chorégraphique et plastique conçu par Laurance Henry, pour et avec Pauline Maluski, avec laquelle elle collabore depuis de nombreuses années. Dans cette création, elle convoque de nouveau l’espace, le volume et la scénographie. Dans un dispositif circulaire, au plus près de l’interprète, nous assistons à la naissance d’un cocon de fil, une alcôve de fil blanc où il lui sera enfin possible de teNir. En partenariat avec le Musée des Beaux-Arts à Caen. --- Côté librairie : En résonance avec "La grande histoire d’un petit trait" ou encore "Moi j’attends" de Serge BLOCH[...]

photo Exposition photo

Exposition photo "sortie de réserve" par Morgan Mirocolo

Patrimoine - Culture, Photographie - Vidéo

Marseille 13000

Du 11/01/2025 au 15/03/2025

Le Musée Provençal demeure aujourd’hui, par l’ampleur de ses collections, le second musée d’ethnographie de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur après le Museon Arlaten. Jouant avec l’état plus qu’insolite du lieu (le musée est quasi centenaire) et l’étonnante profusion des oeuvres, Morgan Mirocolo a pris le parti d’y photographier des Arlésiennes, parfois non sans humour, au milieu des liasses de registres d’inventaire, des montagnes de caisses de conditionnement, des nuages de papier de soie et de flots de papier-bulle qui servent à transférer momentanément les collections vers de nouvelles réserves. Il y a parmi elles d’anciennes reines d’Arles, mais aussi des beautés anonymes, passionnées par ce musée et sensibles à son âme. Sur les piles de cartons, au fond des profondes armoires de mariage et dans les secrets des tiroirs, ces muses viennent momentanément ranimer le souvenir d’une société qui s’est lentement évaporée.